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Vit à Montréal jusque vers 1864, maçon de profession.

A vécu en Ontario (Cambridge, Russell 1871; Rochesterville (Ellen St), Nepean, Carleton 1881 (aujourd'hui Ottawa).

De retour à Montréal en 1883 (21 rue St-Alphonse, auj. rue Dalcourt), 1885-1886 (102 rue Maisonneuve, auj. rue Alexandre de Sève coin Ste-Catherine, Sky Pub); absent du Lovell 1884-1885 où son fils J.Adélard est lui aussi maçon, au 102 rue Maisonneuve.

Sa fin de vie est obscure. Sa femme Rose Troie vit sans lui, avec son fils Adélard, en 1891, mais n'est pas marquée veuve.

Sur le recensement de 1901, comté de Rusell, canton de Cumberland, un homme du nom de Maxime Perault, né le 8 novembre 1831, maçon, vit avec une "épouse" nommée Célina, née le 4 octobre 1838. Il s'agirait d'un concubinage. Maxime se déclare catholique et aurait immigré au Canada en 1834, arrivé de France, ce qui ressemble à un mensonge vu que tous les autres indices montrent qu'il s'agit du même Maxime Perreault baptisé en 1830 à L'Assomption.

On trouve des enregistrements qui le placent à Ottawa début 1900. Il se serait alors converti au protestantisme et aurait pris une seconde femme pour épouse, se déclarant veuf, alors que sa première épouse vivait encore à Montréal.

Mariage le 13 novembre 1906 à Ottawa, Carleton, entre Maxime Perreault, maçon âgé de 75 ans, résidant d'Ottawa, né en France, veuf, fils d'Ambroise Perreault et d'Angélique Barney (Bernard? =Ducas), de l'Église presbytérienne; et Célina Marchand, âgée de 68 ans, résidante d'Ottawa, née à St-Marc P.Q., veuve, fille de Louis Marchand et Marguerite Davarney (=Duvernay), catholique. Officiant: Charles-Henri Vessot, pasteur.

Ce même Maxime Perreault est décédé à Ottawa, Carleton, le 27 octobre 1907, 76 ans, domicilié au 715 Division St, né à Marseille en France, cause: Gastric Carcinoma, 4 months, Église presbytérienne.