Biographie Truchon Louis

Truchon dit Léveillé, Louis : Fils de Pierre Truchon et de Périnne Sirouiet d'Abbaretz, évêché de Nantes en Bretagne (Loire-Atlantique). Il prend pour épouse à Pointe-aux-Tremble de Montréal le 14 avril 1687. (Cont.13 avril sous seing privé par François Lebernaude), Marie-Françoise Beauchamp, baptisée à Montréal le 11 septembre 1670, fille de Jean Beauchamp dit Le Petit Beauchamp et de Jeanne Loisel. Louis Truchon décède à Lachenaie et est inhumé à Saint-Franðcois de l'île-Jésus le 15 février 1724. (8 enfants) Devenue veuve, Françoise Beauchamp se remarie à Jacques Robin dit St-Ours, veuf de Marie Bouteiller dit Têtu Il nait vers 1646 à Daborel, Nantes, Bretagne, France  . Il vivait en 1681 à l'Ile Sainte-Thérèse, Québec, Canada et possédait un fusil, quatre bêtes à cornes et neuf arpents de terre en valeur . Il épouse Marie-Françoise Beauchamp  , fille de Jean Beauchamp dit le Petit Beauchamp   et Jeanne Loisel    le 14 avril 1687 à Saint-Enfant-Jésus, Pointe-aux-Trembles, île de Montréal, Québec . Daniel de RéMY de COURCELLE, un militaire, le nouveau gouverneur, le cinquième en titre, arrive à Québec le 12 septembre 1665 à bord du Saint-Sébastien.Arrivée de Jean TALON, premier intendant de la Nouvelle-FranceJean TALON, premier intendant de la Nouvelle-France, arrive à Québec le 12 septembre 1665 à bord du Saint-Sébastien.Départ de Paul de CHOMEDEY de MaisonneuveLe 23 octobre 1665 c'est le départ définitif pour la France de Paul de CHOMEDEY de Maisonneuve, premier gouverneur de Montréal.Parti de La Rochelle le 24 mai et arrivé à Québec le 12 septembre, le Saint-Sébastien effectua une traversée de 111 jours. Il y a à bord le gouverneur de Courcelles, l'intendant Jean TALON et quatre compagnies du régiment de Carignan : Dugué (ou Boisbriand), La Varenne, Portes (autrefois Duprat) et Rougemont. Le Chevalier de PEGUILHAN, officier est aussi à bord de ce navire, il meurt peu après son arrivée à l'Hôtel-Dieu. Le vaisseau repart le 14 octobre avec deux autres navires du roi : le Jardin de Hollande et la Justice. Le 20 novembre après leur naufrage le capitaine GUILLON et son équipage montent à bord du navire.Compagnie de Dugué :- Guillaume AUBRY dit La Brière- Antoine BERTHELIN dit Saint-Jean Châtellereau- Jean BRICAULT dit Lamarche - Laurent CAMBIN dit Larivière, sergent- François CHARTIER dit Laforest- Sidrac-Michel DUGUé, sieur de Boisbriant- … DUPLESSIS- François DUVAL- Pierre GAREL, sieur de Delorme- Jacques GUITAULT dit Jolicoeur, sergent- Rustique IRLANDOIS- … LAFAVEUR - Jean LAFOND dit Lafontaine, sergent- … LAFONT- Pierre LALIBERTé, caporal- Pierre LAPIERRE, caporal- … LAVALLéE, cadet- Jean MORIGNAN dit Laverdure- Jacques PASSARD dit La Bretonnière - étienne POTHIER dit Laverdure- François SAINTE-CROIX, lieutenant- René SAUVAGEAU dit Maisonneuve- Roch THOéRY, sieur de L'Ormeau, enseigne- … TOBIE- David TROUILLARD dit Lapointe- Louis TRUCHON dit Léveillé- Jacques VIAU dit LespéranceSoldats du Régiment de CARIGNAN-SALIáERES ous sommes en 1641 en Nouvelle-France et les Iroquois ne cessent d'attaquer! Entre-temps, Mgr de Laval rencontre le roi Louis XIII et celui- ci lui promet une aide militaire pour la colonie. Thomas-François de Savoie, prince de Carignan recrute un régiment en 1642, c'est le Régiment Carignan. Il participe à de nombreuses batailles en Europe. Vingt ans plus tard, ils fouleront le sol de la Nouvelle-France. En 1665, le roi accorde finalement une aide importante et envoie plus de 1 300 soldats appartenant au Régiment Carignan-Salières Ces soldats seront dirigés par le colonel Salières. Ils débarquent à Québec pour contrer les attaques des Iroquois. L'armée défait les Iroquois et la paix est rétablie dans la région en 1667. Une fois cette mission accomplie le roi souhaite qu'une partie des soldats demeurent en Nouvelle-France pour aider la colonie. Il leur accorde des terres sur les rives du Saint-Laurent afin qu'ils deviennent agriculteurs. Plus de 400 acceptent de rester dans la colonie. Le roi leur donne des vivres pour un an et des récompenses selon leur grade. Un soldat reçoit cent livres (ancienne monnaie) et un officier mérite un montant un peu plus élevé. Jean Talon confie plusieurs seigneuries à des capitaines qui ont pour mission de regrouper autour d'eux les soldats qu'ils ont dirigé. Ils deviendront des colons. La plupart de ces soldats sont célibataires et ils sont très heureux de constater que les filles du Roy continuent d'arriver en Nouvelle-France jusqu'en 1673 Soldats du Régiment de CARIGNAN-SALIáERES Plusieurs choisissent une épouse et au fil des ans ils forment une famille composée de nombreux enfants. Ainsi, les soldats du Régiment Carignan-Salières et les filles du Roy ont largement contribué au peuplement de la Nouvelle-France.

Richard Léveillé